Le diabète correspond à un excès durable de la concentration de glucose (sucre) dans le sang (hyperglycémie). Dans le cas du diabète de type 2, ce phénomène est provoqué par une perturbation du métabolisme des sucres (glucides). Si elle apparaît progressivement et en silence, la maladie a des conséquences graves, voire mortelles, à long terme.
La médecine naturelle permet aux diabétiques de retrouver un espoir de guérison, comme nous allons le découvrir en fin d'article.
Comprendre le diabète de type 2
La prévalence globale du diabète est estimée à 10% de la population.
Le risque augmente avec l’âge. La maladie se manifeste généralement après 40 ans et elle est diagnostiquée à un âge moyen proche de 65 ans.
Toutefois, le diabète de type 2 touche aussi de plus en plus de jeunes, y compris des adolescents, voire des enfants. C’est précisément la période durant laquelle s’acquièrent les habitudes alimentaires et celles relatives à la pratique d’une activité physique, deux leviers primordiaux dans la prévention de la maladie...
La prévalence de la maladie a beaucoup augmenté ces dernières années.
Une évolution lente et silencieuse
Le diabète de type 2 se développe silencieusement pendant de nombreuses années.
L’hyperglycémie (augmentation du taux de sucres dans le sang) reste longtemps sans symptômes et la maladie est souvent découverte par hasard à l’occasion d’une prise de sang, ou en cas de complication.
Cette hyperglycémie provient d’une baisse de sensibilité des cellules – en particulier celles du foie, du muscle et des graisses – à l’insuline.
L'insuline a pour rôle de faciliter la pénétration du glucose (leur principal carburant) dans les cellules, ce qui en diminue la concentration sanguine. Pour répondre à la demande accrue en insuline découlant de cette insensibilité, les cellules insulinosécrétrices du pancréas en produisent davantage… jusqu’à s’épuiser. La production d’insuline devient alors insuffisante et le glucose s’accumule irrémédiablement dans le sang.
Qu’est-ce qu’une glycémie « normale » ?
La glycémie normale est d’environ 1 g/l à jeun. Elle varie au cours de la journée, augmentant en particulier durant plusieurs heures après les repas, d’où la nécessité de réaliser cette mesure à jeun le matin.
Les complications du diabète
Le diabète entraîne des complications graves à long terme, pouvant survenir après 10 à 20 ans de déséquilibre glycémique.
La maladie accélère en effet l’athérosclérose, à l’origine d’infarctus du myocarde, d’AVC ou d’artérites des membres inférieurs. En altérant également les petits vaisseaux, le diabète est en outre à l’origine de rétinopathies (atteintes de la rétine entraînant un risque de déficience visuelle voire de perte définitive de la vue), de neuropathies périphériques, de néphropathies (insuffisances rénales), de maladies hépatiques (stéatose non alcoolique ou « maladie du foie gras ») ou de problèmes de cicatrisation. Il peut aussi participer à une dégénérescence des neurones.
Les facteurs de risque : avant tout le mode de vie
Le principal facteur de risque du diabète tient à l’hygiène de vie. Une alimentation trop grasse et trop sucrée, combinée à la sédentarité (absence d’exercice physique), mène à l’obésité qui constitue en elle-même un facteur majeur de risque de diabète.
Les enfants, via la surconsommation de sodas et autres boissons sucrés, ainsi que la disparition de la marche et des jeux au profit des loisirs sur écran, ne sont plus épargnés.
D’autres facteurs interviennent, comme notamment la flore intestinale. Non seulement ce microbiote reflète le mode de vie (nutrition, médicaments, sédentarité) de son hôte, mais il peut lui-même constituer un facteur de risque et, dans certains cas, une cause directe du diabète
Le diabète gestationnel
Il existe un risque accru de diabète chez les femmes enceinte : la grossesse peut en effet provoquer un diabète dit « gestationnel ». Il survient généralement vers la fin du 2e trimestre et disparaît le plus souvent en fin de grossesse. Il peut cependant être révélateur d’un diabète préexistant non diagnostiqué. Dans ce cas, la maladie perdure après l’accouchement.
Détecter et diagnostiquer
Les patients « prédiabétiques » (on parle aussi d’intolérance au glucose) ou même diabétiques ne présentent en général aucun signe clinique avant plusieurs années. De ce fait, l’âge moyen de prise en charge est souvent trop avancé (65 ans en France). L’hyperglycémie est alors déjà installée depuis longtemps et les dégâts ont commencé.
La seule méthode de détection de la maladie à un stade précoce est la mesure de la glycémie à jeun. Elle devrait être systématiquement effectuée chez les plus de 50 ans.
Entre 1,10 et 1,26 g/l, le patient est considéré comme prédiabétique.
Si la glycémie dépasse 1,27 g/l lors de deux dosages successifs, le diabète est déclaré.
D’autres critères – glycémie post prandiale, glycémie provoquée, taux d’hémoglobine glyquée (hémoglobine sur laquelle s’est fixé du glucose) – peuvent confirmer ou préciser le diagnostic.
L’hygiène de vie, traitement prioritaire
Le traitement de référence du diabète de type 2, celui qui doit être entamé avant tout autre, est la modification des habitudes de vie, incluant :
une perte de poids quand elle est nécessaire
une activité physique régulière
une alimentation équilibrée
Ces mesures peuvent être suffisantes pour contrôler la glycémie. Mais ces changements sont souvent difficiles à mettre en œuvre et à accepter par le patient.
Le traitement naturel
Les recherches en naturothérapie nous ont permis de découvrir un traitement naturel fabriqué au Bénin, qui a donné des résultats extraordinaires dans le traitement du diabète, avec même des cas de guérison à la clé.
Ce médicament traditionnel amélioré dénommé DIABECIDE est fabriqué à partir de plusieurs plantes africaines dont Momordica Charantia (margose) et Phyllantus Amarus.
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